Porte logique et représentation d'un texte en machine
I. Portes logiques
Portes logiques=fonctions logiques=fonctions booléennes
Les fonctions logiques prennent comme paramètre d'entrée, true ou false, 1 ou 0.
a=3 affectation de la valeur 3 dans la variable a
a==3 comparaison de a et de 3 -->vrai (true)
-->faux(false)
La comparaison renvoie donc une grandeur booléenne.
b=true affectation de la valeur true à la variable booléenne b
Les portes logiques sont composées de plusieurs transistors et sont utilisées dans tous les systèmes électroniques.
NON
AND
OR
XOR
En programmation Python, ces fonctions booléennes sont utilisables dans l'écriture d'une condition.
def : mot clé pour définir une fonction
fonction 1 : nom de la fonction définie par l'utilisateur
x y : paramètres de la fonction
Ici, la condition est vraie si (if) x=0 (x==0) ou y=0 (y==0) ou les deux.
Si la fonction est vraie, la fonction ne renvoie rien pour éviter une erreur de calcul.
else : Si la condition précédente n'est pas vérifiée, alors on calcule 1/x*y (1/(x*y)).
Ces lignes ne s'exécuteront jamais sauf si la fonction est appelée :
a=fonction_1 2,2
C'est l'appel de la fonction. Sans ces lignes là, la fonction ne s'exécutera jamais.
Pour connaître le résultat l'utilisateur peut dire print(a).
L'additionneur 1 bit utilise des portes booléennes pour additionner en tenant compte des retenues.
II. Le codage des textes
On a débuté le codage des caractères dans les années 60 avec le code ACSII.
Sur 1 octet seul 7 bits étaient utilisés pour coder 128 caractères non accentués.
Ce code a été étendu aux caractères accentués (latin 1) puis à tous les caractères avec l'unicode. L'UTF-8 est la version d'unicode utilisé par 95% des sites web actuelles.
L'UTF-8 utilise 1 à 4 octets pour coder chaque caractères.
Les caractères moins fréquents étant codés sur plus d'octets que les caractères fréquents.
